D'entrée, Paul Kaba Thiéba a fustigé les différentes revendications syndicales observées ces derniers temps.
Selon le Premier ministre, le coût financier de ces revendications est considérable et il doit être apprécié à sa juste valeur par les différents partenaires sociaux. « Les grèves et autres sit-in portent atteinte à la production, à la création de richesses et réduisent ainsi la croissance. Ils pénalisent tous les secteurs de notre économie et tous les acteurs, notamment le secteur privé formel et informel qui est pourtant le premier employeur et pourvoyeur de recettes fiscales pour notre pays. La recrudescence de ces revendications risque de porter des dommages irréparables à l'économie nationale et remettre en cause les espoirs suscités par le PNDES et la croissance retrouvée », a fait remarquer le PM.
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