«Le G7 maintient, contre vents et marrées, le cap vers les élections devant se tenir au plus tard, fin décembre 2017. Si à cette échéance, les élections n'étaient pas organisées, le G7 exigera que la CENI organise les élections sous la supervision des Nations Unies étant donné qu'il n'y aura aucune institution légitime. Le G7 exige, en outre, le retour sans condition du Président Moïse Katumbi et réaffirme qu'il est son candidat à la prochaine élection présidentielle.
Le G7 n'acceptera pas un troisième dialogue. Car, il n'y a plus rien à négocier. Dépassée la date du 31 juillet 2017 sans, d'une part, que la CENI n'ait clôturé les opérations d'identification et d'enrôlement, ni publié le calendrier électoral ; et, d'autre part, sans que le Gouvernement n'ait mis en œuvre les mesures de décrispation, le G7, avec l'ensemble des organisations politiques et sociales, des actions de mobilisation populaire et de désobéissance civique, conformément à l'Article 64 de la Constitution».
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