Mardi, lors d'une séance plénière à l'Assemblée, la tension est montée d'un cran lorsque Mongi Rahoui, député du Front populaire, insinue au président du groupe parlementaire de Nida Tounès, Sofiène Toubel, qu'il sera prochainement derrière les barreaux.
Au-delà du côté anecdotique, cette scène traduit une panique générale dans la classe politique, qui illustre bien le séisme qu'a provoqué Youssef Chahed en passant à l'acte dans la guerre contre la corruption. Mais il n'y a pas que les gesticulations des semeurs de doute qui tentent de miner la guerre contre la corruption. Au sein du gouvernement d'union nationale lui-même, l'objet de l'optimisme est également sujet aux questionnements.
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