Au total, vingt artisans des régions de Kaolack, Fatick, Kaffrine, Thiès, Diourbel et Louga ont été formés aux techniques d'assemblage et de réparation de la version 3 de la batteuse manuelle à mil pour réduire la corvée des femmes, les pertes post-récoltes et améliorer la qualité des grains, a appris l'APS.
"L'objectif visé dans le cadre de ce projet, c'est d'adopter et de diffuser à grande échelle cette technologie de battage manuel au niveau de 3600 producteurs au niveau de six régions du bassin arachidier et de la zone des Niayes (Kaolack, Fatick, Kaffrine, Diourbel, Thiès et Louga)", a indiqué Bocar Wade, conseiller agricole et rural à l'ANACAR (Agence nationale de conseil agricole et rural).
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