Lundi 26 juin, un important procès s'est ouvert en Afrique du Sud. Quarante-six ans après la mort d'un militant anti apartheid, la justice a décidé de rouvrir l'enquête. A l'époque, la police avait affirmé qu'Ahmed Timol, un jeune instituteur d'origine indienne, s'était suicidé alors qu'il se trouvait en détention. Mais sa famille n'a jamais accepté cette version. Et avec l'aide de la Fondation pour les droits de l'homme, elle a réussi à obtenir la réouverture de l'enquête.
Au premier jour du procès, Salim Essop, arrêté avec Ahmed Timol un soir d'octobre 1971 a témoigné devant la Haute Cour de justice de Johannesburg.
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