Coup de théâtre et coup de colère au procès Obiang à Paris lundi 26 juin. Alors que le mercenaire Simon Mann est venu témoigner pour raconter le coup d'Etat manqué en 2004 contre le régime Obiang, il a donné les identités des commanditaires et la défense de Teodorin Obiang a alors produit un courriel laissant entendre que les parties civiles étaient proches des commanditaires de putsch.
Le témoignage de Simon Mann sentait le soufre ; il a tenu toutes ses promesses. L'ex-militaire britannique qui, bien volontiers, affirme être un mercenaire évoque à la barre le coup d'Etat raté qu'il a fomenté en 2004 en Guinée équatoriale pour renverser le président Obiang.
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