«Cela fait trois ans que je chante dans la rue. J'ai vu des gens faire cela à l'étranger. J'ai tenté ma chance car je veux partager ma musique avec les gens.»
Vayoud Futta, 63 ans, fait monter l'ambiance à la rue John Kennedy, Port-Louis. Flûte en bouche, tambour en main, tambourin au pied droit à la fois, le musicien revisite les segas locaux comme Anba laba, les tubes comme Lambada ou encore des chansons bollywoodiennes. Comme lui, deux autres musiciens «survivent» grâce à leur art. Dans la rue. Une voie qu'ils ont choisie même si c'est pour gagner entre Rs 200 et Rs 300 par jour. Rencontres alors que l'on célébrait, il y a quelques jours, la Fête de la musique...
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