Depuis janvier 2017, l'armée ivoirienne ne cesse de faire parler d'elle en termes d'indiscipline caractérisée et de mutineries. Tout a commencé, en effet, avec le contingent 8400 en janvier et mai derniers à Bouaké.
Ces mutins, à coups de crépitements d'armes et de barricades, réclamaient hic et nunc le paiement de leurs primes. Alassane Ouattara, on se souvient, avait cassé la tirelire pour apaiser la colère de la soldatesque et ce, à un moment où l'économie du pays était au plus mal, en raison notamment de la chute vertigineuse du prix du cacao sur le marché international. Mais ce sacrifice consenti par l'Etat, est loin d'avoir apaisé les casernes.
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