Le président gambien Adama Barrow s'est exprimé lundi 24 juillet devant une Assemblée nationale pleine à craquer. Une clause de la Constitution gambienne veut qu'une fois par an, le président s'adresse à l'unique chambre du Parlement. Un discours qui marque l'ouverture de la session parlementaire. Et l'occasion de faire le point sur les réformes en cours.
Economie, armée, libération de prisonniers politiques (500 au total), le président a fait le tour des mesures en train d'être mises en place. Mais le moment était avant tout symbolique, car c'est la première fois, au cours de la seconde République, que le traditionnel discours n'est pas effectué par l'ancien président Yahya Jammeh.
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