Pour ce qui est du pas franchi par la diplomatie française, le 25 juillet, au sujet de la crise libyenne, il y a lieu de dire, il était grand temps.
Six ans jour pour jour, après l'éclatement de la guerre civile en Libye envenimée par l'intervention française suite à la volonté d'en découdre de l'ancien président français Nicolas Sarkozy, c'est à Emmanuel Macron, son deuxième successeur après François Hollande, qu'il revient la mission de réparer les préjudices, d'assurer « le service après-vente » comme le réclamait depuis toujours le chef de l'Etat tchadien, Idriss Deby Itno, dont le pays partage une large frontière avec la Libye.
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