Entre l'alcool, le cannabis ou la cocaïne, une intense activité sexuelle non protégée, les jeunes camerounais s'occupent dans la dépravation.
Lundi 14 août 2017, 19 heures au quartier Essos de Yaoundé. Rien ici ne laisse croire que c'est une soirée de début de semaine. «La rue de la joie» est bondée, illuminée par les multiples snacks bars qui jonchent les trottoirs. Les noms des enseignes se veulent attrayants et attractifs, les jeux de lumière sont aussi fantaisistes les uns que les autres. Les clients sont à vue d'œil des adolescents. Sur les tables, tout type d'alcool : bières, whiskies, et autre. La nouvelle tendance aussi, la shishia.
...
Contenu de l'abonnement AllAfrica
Vous devez être abonné à allAfrica.com pour avoir un accès complet à certains contenus.
Vous avez sélectionné un article dans les archives d'AllAfrica, qui nécessite un abonnement. Vous pouvez vous abonner en visitant notre page d'abonnement. Ou pour plus d'informations sur la façon de devenir un abonné, vous pouvez lire notre présentation dans la rubrique abonnements et contributions.
Pour plus d'informations sur nos services d'abonnement premium:
Vous pouvez également accéder librement - sans abonnement - à des centaines d'articles sur l'Afrique et à des milliers d'articles récents à partir de notre page d'accueil »
Vous êtes déjà abonné ? Connectez-vous pour avoir un accès complet à l'article