«En tant que Mauriciens, nous sommes blessés au plus profond de notre âme par ce crime.» Le Premier ministre adjoint s'exprimait hier, jeudi 17 août, sur le meurtre de la Sud-Africaine Lara Rijs. Pour autant, a souligné Ivan Collendavelloo, «cela ne veut pas dire que Maurice est un pays dangereux».
Le nº2 du gouvernement, qui participait au lancement du groupe sud-africain Sanlam à Maurice, voulait ainsi donner la réplique à ceux qui estiment que le pays est une «death destination». Selon Ivan Collendavelloo, «Maurice reste un havre de paix et de sécurité». D'ailleurs, souligne-t-il, c'est «une valeur sûre» du pays.
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