Suite à la volonté du président sud-africain, Jacob Zuma, de voir identifiés et sanctionnés les députés de son parti, le Congrès national africain (ANC), qui avait voté contre lui lors de la motion de défiance rejetée le 8 août dernier, il s'est ouvert une chasse aux sorcières.
En effet, alors que certains des députés frondeurs ont été démis de leurs fonctions dans les instances du parti, d'autres ont été sommés de se justifier par des lettres d'explications.
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