Entre les parents et la direction de l'hôpital, la brouille continue, pour que la vérité soit faite sur la mort le 28 juin dernier du petit Noah Bikélé.
Centre hospitalier et universitaire (CHU) de Yaoundé hier matin. Tout est calme. Le personnel vaque à ses occupations. Loin des soubresauts ayant quelque peu perturbé le service mercredi. Pour une histoire qui commence le 23 juin 2017, selon la direction générale de l'hôpital. Le CHU accueille ce jour-là, le nouveau-né Noah Bikélé, grand prématuré, né quelques heures avant, dans un centre de santé d'un quartier de la place. La mère de l'enfant est alors sous anesthésie, parce qu'elle a accouché par césarienne.
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