Si l'on continue de se perdre en conjectures au sujet de l'attaque du 13 août, non revendiquée jusqu'au moment où nous mettions sous presse -- contrairement aux usages des terroristes et autres djihadistes --, la disparition de Salifou Diallo interroge déjà sur la gestion de la vie sociopolitique nationale, à présent que l'émotion s'estompe et qu'affleure violemment la réalité du grand vide laissé par ce «baobab».
Car l'homme était à lui tout seul un programme politique et un bulldozer de volonté, qui savait tracer les sillons de l'action.
...
Contenu de l'abonnement AllAfrica
Vous devez être abonné à allAfrica.com pour avoir un accès complet à certains contenus.
Vous avez sélectionné un article dans les archives d'AllAfrica, qui nécessite un abonnement. Vous pouvez vous abonner en visitant notre page d'abonnement. Ou pour plus d'informations sur la façon de devenir un abonné, vous pouvez lire notre présentation dans la rubrique abonnements et contributions.
Pour plus d'informations sur nos services d'abonnement premium:
Vous pouvez également accéder librement - sans abonnement - à des centaines d'articles sur l'Afrique et à des milliers d'articles récents à partir de notre page d'accueil »
Vous êtes déjà abonné ? Connectez-vous pour avoir un accès complet à l'article