Le silence assourdissant de sa famille et l'absence de sa veuve, le 2 octobre dernier, lors du lancement officiel des souscriptions pour la construction d'un mémorial avaient suscité moult appréhensions.
« La famille serait-elle opposée à l'initiative ? » se demandaient beaucoup. Aujourd'hui, cette déclaration de Mariam Sankara s'apparente à un ouf de soulagement pour les fervents admirateurs du guide de la Révolution burkinabè. Seulement, il y a deux conditions à cette bénédiction familiale : que les commanditaires et les exécutants de cet assassinat soient connus au plus vite et que ce mémorial ne soit pas, et surtout pas, érigé au sein du Conseil de l'Entente.
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