Constat déchirant au jardin de la Compagnie, hier, mercredi 18 octobre, à la veille de Divali. Parmi les grévistes : Aarti Nawoor, une cleaner de 43 ans qui travaille dans une école pour Rs 1 500 par mois.
«Célébrer Divali est un luxe», dit-elle. Alors parler de célébration serait évoquer une chose irréalisable pour cette mère de trois enfants, qui a aussi un mari invalide à sa charge.
...
Contenu de l'abonnement AllAfrica
Vous devez être abonné à allAfrica.com pour avoir un accès complet à certains contenus.
Vous avez sélectionné un article dans les archives d'AllAfrica, qui nécessite un abonnement. Vous pouvez vous abonner en visitant notre page d'abonnement. Ou pour plus d'informations sur la façon de devenir un abonné, vous pouvez lire notre présentation dans la rubrique abonnements et contributions.
Pour plus d'informations sur nos services d'abonnement premium:
Vous pouvez également accéder librement - sans abonnement - à des centaines d'articles sur l'Afrique et à des milliers d'articles récents à partir de notre page d'accueil »
Vous êtes déjà abonné ? Connectez-vous pour avoir un accès complet à l'article