Le Cinemed, festival du cinéma méditerranéen, se poursuit à Montpellier où il a ouvert ses portes le 19 octobre dernier. Au programme : une sélection d'une centaine de films et des rétrospectives consacrées à l'Espagnol Fernando Trueba ou à l'Algérien Merzak Allouache. Mais surtout un coup de projecteurs sur « la jeune garde » du cinéma algérien.
Ils ont grandi dans les années 1990 dans un pays ravagé par la guerre civile, où presque toutes les salles de cinéma avaient disparu. Ils s'appellent Karim Moussaoui, Narimane Mari, Sofia Djama ou Hassen Ferhani.
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