Face au manque de débouchés professionnels, les milliers de lauréats des universités burundaises font la course aux stages. Une manne pour certains employeurs véreux qui exploitent dans tous les sens du terme cette main-d'œuvre bon marché. Cette situation indigne le blogueur Yannick Ndayisaba.
Numériquement majoritaires et largement touchés par le chômage, les jeunes cherchent confusément des réponses aux angoissantes questions qu'ils se posent sur leur avenir. « J'ai des stages professionnels à pourvoir », dira le gentil employeur. Alors une question à deux sous : ces employeurs cherchent-ils à éradiquer le chômage qui engloutit les jeunes ou plutôt à profiter d'une main d'œuvre bon marché qu'il génère ?
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