Ils sont presque partout maintenant. Ces gens ne parlent ni le français ni l'anglais et encore moins le malgache.
Ces vendeurs de téléphones à la sauvette sont pourtant omniprésents. Dans le centre ville, à Analakely plus précisément, ils arrivent bien à faire leur travail informel en utilisant la langue des signes. Visiblement, ils s'apparentent à des Indopakistanais, mais le fait qu'ils ne parlent pas une once de malgache laisse penser à d'autres nationalités. Sur place, les autres vendeurs de téléphones sont presque sûrs que ces individus sont des Syriens. A Tanà, ils approchent sans aucune hésitation les piétons et leur montrent leurs produits.
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