Il est devenu le chouchou des médias privés, qui n'ont plus d'yeux et d'oreilles que pour lui, rendant compte de tous ses propos et gestes, jusqu'à son moindre éternuement. C'est comme si personne ne se rappelle plus qui il fut et comment il a géré sans partage notre pays.
Malgré les réticences dont il fait montre, de "bonnes volontés" reviennent à la charge pour le réconcilier avec son successeur. Comme si cette réconciliation avait un brin d'intérêt pour le pays. J'ai rappelé, dans mes contributions précédentes, qui il fut et qui est son successeur. Tous les deux ont pour dénominateur commun d'être de très mauvais gestionnaires. Les réconcilier, c'est donc donner un nouveau souffle à la mal gouvernance. Nous avons beau être ce que nous sommes, nous ne devrions pas nous laisser entraîner dans cette farce. Nous devons toujours nous rappeler, surtout par ces temps incertains, les meurtrissures de la funeste gouvernance du vieux président-politicien, qui a mis sens dessus dessous tout notre pays. Je m'y suis essayé dans mes quatre précédentes contributions. La cinquième, celle-ci, continue l'exercice par l'exploitation du "Rapport public sur l'Etat de la Gouvernance et de la Reddition des Comptes" de l'Inspection générale d'Etat(IGE), juillet 2013.
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