L'activité fait partie de l'informel et permet à bon nombre de ceux qui s'y adonnent de devenir indépendants financièrement.
La vente à la criée des cartes de recharge, toutes sociétés de téléphonie mobile confondues, a procuré aujourd'hui de l'emploi à plusieurs jeunes, hier désoeuvrés. Stève Pambou, croisé vers le rond-point Kassaï dans le premier arrondissement de Pointe-Noire, Emery-Patrice-Lumumba, la vingtaine révolue, loue l'importance de cette activité : « Il y a près de trois ans que je vends des crédits de recharge. Cela m'a permis d'être indépendant vis-à-vis de mes parents sur le plan financier. J'ai pu, en deux ans, faire des ristournes avec les autres et le petit fonds que je trouve me permet de subvenir aux besoins de ma petite famille, car je suis père de deux enfants », a-t-il indiqué.
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