Elles sont surnommées les « mortes de la farine » après la bousculade meurtrière de Sidi Boulaalam, à 60 km d'Essaouira, où 15 femmes sont mortes piétinées dans un mouvement de foule ce dimanche 19 novembre lors d'une distribution d'aide humanitaire.
Alors que des voix s'élèvent pour dénoncer la misère persistante dans le royaume chérifien et alors que le pays avance ses atouts de pays en voie de développement, les autorités, attentives à une opinion échaudée par les revendications socio-économiques dans le Rif cette année, tentent de montrer qu'elles font leur auto-critique.
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