L'Institut national des arts (INA) totalisera un demi-siècle le 2 décembre. Son expertise n'est pas à remettre en cause quand on sait qu'il a piloté le volet scientifique et culturel du XIIe sommet de la Francophonie en 2012. Le directeur général de cet institut, Yoka Lye Mudaba, s'en félicite et brosse le portrait robot de ce qu'il tient pour une référence comme seul institut congolais et d'Afrique centrale qui promeut les arts de la scène au niveau supérieur. Dans cette interview exclusive avec Le Courrier de Kinshasa, il se réjouit aussi de la construction prochaine du campus de l'INA qu'il voudrait "déghettoïser" et s'ouvrir encore plus au monde.
Pourriez-vous nous dire la cause de la grande effervescence observée ces derniers temps à l'INA ?
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