Tous les responsables publics dont le directeur général de la JIRAMA ont une obligation légale de mettre en place un dispositif anti-corruption au sein de leur entité.
C'est le cas de la JIRAMA. Sinon, ils seront exposés à une sanction pénale allant jusqu'à cinq ans d'emprisonnement, selon la loi. Le directeur général du BIANCO, Jean Louis Andriamifidy, l'a évoqué hier lors de l'ouverture de l'atelier de renforcement des capacités de l'équipe dirigeante de la JIRAMA, organisé par le BIANCO avec la coopération allemande GIZ à l'hôtel Ibis à Ankorondrano. L'objectif consiste à conscientiser les cadres de cette société d'Etat à prendre leurs responsabilités dans la lutte contre la corruption.
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