Avant la révolution, l'espace était une «chooba», ces bureaux de l'ancien parti au pouvoir implantés dans tous les quartiers de toutes les villes de la Tunisie.
«En février 2011, j'ai présenté un dossier au ministère de la Culture avec le projet du lieu», explique l'artiste. S'ensuit «une valse» entre le ministère de tutelle, celui des domaines de l'Etat et même de l'Intérieur, jusqu'à obtention de gain de cause et la location officielle de l'espace, devenu après de grands travaux «Sindyana».
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