Le plan « B » des serviteurs de l'homme d'affaires s'articule autour de trois axes, selon le député : premièrement, le lancement d'une grande campagne médiatique contre l'arrestation de hauts cadres sécuritaires en rapport avec l'affaire Jarraya.
Deuxièmement, le déclenchement d'actes de harcèlement continus ciblant le témoin principal dans l'affaire.Il s'agit d'un sécuritaire qui avait officiellement dénoncé l'affaire Jarraya devant la justice en l'été 2016. Ce dernier a, ensuite, fait l'objet de plusieurs poursuites judiciaires pour « faux témoignages », à la suite d'une campagne de vengeance engagée par les réseaux de Jarraya, d'après les dires de Ben Fraj.
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