Au Cameroun, la garde à vue de l'écrivain Patrice Nganang a été prolongée de 48 heures. Une décision à la surprise générale puisque l'homme de lettres était sur le point d'être déféré devant le procureur de la République.
Interpellé mercredi dernier à Douala, l'auteur est accusé entre autre d'« outrage au chef de l'Etat ». Dans une lettre écrite samedi 9 décembre, et publiée lundi 11 décembre par les quotidiens Le Jour et Le Messager, Patrice Nganang revient sur le statut d'écrivain et sur la liberté d'expression que ce statut doit lui conférer. Haman Mana, rédacteur en chef du journal Le Jour, a réagi à cette publication.
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