Les ministres des Affaires étrangères tunisien, Khemaies Jhinaoui; algérien, Abdelkader Messahel; et égyptien, Sameh Choukri, ont estimé le 17 décembre, que le document signé le 17 décembre, au Maroc, demeure le seul cadre viable pour mettre fin à la crise politique en Libye.
A l'issue d'une réunion tripartite, les chefs de la diplomatie des trois pays ont « renouvelé leur soutien à l'accord politique en tant que cadre de la solution politique en Libye », en attendant la tenue d'élections prévues en 2018. Ils ont réaffirmé également leur refus de « toute ingérence extérieure en Libye » et « toute tentative de n'importe quelle partie libyenne pour dérailler le processus politique » dans ce pays. Dans cette même optique, les ministres ont « accueilli favorablement (...) la déclaration du Conseil de sécurité du 14 décembre 2017 » dans laquelle, il avait prévenu que le conflit libyen ne sera réglé que dans le cadre de l'accord de Skhirat.
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