Luanda — L'Angola demeure vulnérable aux chocs extérieurs, en particulier aux fluctuations du prix du pétrole sur le marché international, vu que la réduction du poids du secteur pétrolier dans l'économie nationale ne s'est pas encore traduite par une modification structurelle des exportations et des recettes publiques.
Selon le ministre d'État pour le développement économique et social, Manuel Nunes Júnior, qui intervenait mardi à la cérémonie d'ouverture de la 1ère session ordinaire de la Commission Multisectorielle de l'Hôtellerie et Tourisme, le poids du secteur pétrolier dans l'économie angolaise a tendance à diminuer, passant de 58% du PIB en 2008 à environ 20% en 2016.
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