Au Congo-Brazzaville, les organisations de défense des droits de l'homme se disent préoccupées par l'application par le gouvernement, depuis le 1er janvier, de la clause de cessation du statut de plus de 8 000 réfugiés rwandais installés au Congo après le génocide qui s'est produit dans leur pays en 1994. Elles considèrent cette mesure comme « une non-assistance à personne en danger ».
Dans une récente déclaration, le gouvernement congolais a été formel : « Les 8 460 réfugiés rwandais qui ont refusé le rapatriement volontaire ; qui n'ont pu obtenir une intégration locale ni l'exemption sont en situation irrégulière depuis le 1er janvier », conformément à l'application de la clause de cessation de leur statut.
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