C'était un départ inévitable. L'Etat devait s'occuper de tout. Les cadres tunisiens étaient très peu nombreux, la société civile, les entreprises étaient en formation, l'intervention massive de l'Etat était nécessaire.
Elle allait le rester malgré les progrès accomplis et l'émergence de la société civile, le développement de l'entreprise et l'extension des possibilités autres qu'étatiques, ce qui allait réduire la capacité de développement des pays.
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