Sept ans après la « Révolution » du 17 décembre 2010-14 janvier 2011, les bourrasques alternent toujours avec les orages, sous un ciel chaotique tunisien. Et les Tunisiens, les moins nantis d'entre eux, ne savant plus à quel saint se vouer, réalisent aujourd'hui et plus que jamais, qu'ils nagent en eaux troubles.
Passé les réjouissances des fêtes et la transe collective, les moins dubitatifs se posent des questions dans le style : aurait-on pêché en s'insurgeant un jour pour changer les conditions d'un peuple autrefois « réprimé », aujourd'hui « affamé »?
...
Contenu de l'abonnement AllAfrica
Vous devez être abonné à allAfrica.com pour avoir un accès complet à certains contenus.
Vous avez sélectionné un article dans les archives d'AllAfrica, qui nécessite un abonnement. Vous pouvez vous abonner en visitant notre page d'abonnement. Ou pour plus d'informations sur la façon de devenir un abonné, vous pouvez lire notre présentation dans la rubrique abonnements et contributions.
Pour plus d'informations sur nos services d'abonnement premium:
Vous pouvez également accéder librement - sans abonnement - à des centaines d'articles sur l'Afrique et à des milliers d'articles récents à partir de notre page d'accueil »
Vous êtes déjà abonné ? Connectez-vous pour avoir un accès complet à l'article