Selon M. Oussema El Khriji, doyen et président de l'Ordre des ingénieurs tunisiens, le nombre des ingénieurs a plus que doublé, puisqu'il se limitait à 3.000 sit-inneurs lors de la grève du 14 novembre 2017. Un sit-in réussi aux dires de M. Khriji : «Le taux de participation à la grève a atteint 80%».
C'est une grève conjointement organisée par le Syndicat national des ingénieurs tunisiens «Syndit» et l'Ordre des ingénieurs tunisiens (OIT). Elle vient en guise de protestation contre la détérioration du secteur et l'inaction de la présidence du gouvernement quant aux revendications du syndicat.
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