Au Sénégal, l'introduction d'un permis à points, destiné à dissuader les auteurs d'infractions, risque de ne pas améliorer l'insécurité routière si bon nombre d'automobilistes continuent à rouler avec des faux permis.
Il est dix heures du matin à l'auto-école Privilège. Lamine Faty, moniteur est en plein cours. Parmi les élèves, Moustapha Cissé. Ce jeune de vingt-trois ans suit une formation au code de la route. Il estime que "si on conduit une voiture et qu'on ne connait pas le code de la route, c'est vraiment grave. C'est pourquoi les futurs conducteurs viennent suivre des cours de code et de conduite, pour pouvoir identifier les dangers, les interdictions et les obligations."
...
Contenu de l'abonnement AllAfrica
Vous devez être abonné à allAfrica.com pour avoir un accès complet à certains contenus.
Vous avez sélectionné un article dans les archives d'AllAfrica, qui nécessite un abonnement. Vous pouvez vous abonner en visitant notre page d'abonnement. Ou pour plus d'informations sur la façon de devenir un abonné, vous pouvez lire notre présentation dans la rubrique abonnements et contributions.
Pour plus d'informations sur nos services d'abonnement premium:
Vous pouvez également accéder librement - sans abonnement - à des centaines d'articles sur l'Afrique et à des milliers d'articles récents à partir de notre page d'accueil »
Vous êtes déjà abonné ? Connectez-vous pour avoir un accès complet à l'article
AllAfrica publie environ 400 articles par jour provenant de plus de 100 organes de presse et plus de 500 autres institutions et particuliers, représentant une diversité de positions sur tous les sujets. Nous publions aussi bien les informations et opinions de l'opposition que celles du gouvernement et leurs porte-paroles. Les pourvoyeurs d'informations, identifiés sur chaque article, gardent l'entière responsabilité éditoriale de leur production. En effet AllAfrica n'a pas le droit de modifier ou de corriger leurs contenus.