En dépit de l'appel lancé hier par les émissaires guinéens et ghanéens aux partis politiques de cesser toute manifestation avant et pendant la tenue du dialogue (dont l'ouverture est prévue le 15 février), l'opposition est descendue dans la rue samedi. Certes, il n'y avait pas foule et pas beaucoup d'enthousiasme chez les marcheurs.
'Le droit de manifester est un droit constitutionnel et nul ne saurait nous en empêcher', a déclaré la coordinatrice de la coalition de l'opposition.
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