Le secrétaire général des Nations unies a déploré, le 6 février, le fait que les autorités du pays veulent à tout prix procéder à la réforme de la Constitution sans associer l'opposition.
Dans un rapport remis aux quinze membres du Conseil de sécurité, le chef de l'ONU a dénoncé « la volonté persistante » de Bujumbura à réformer la loi fondamentale sans tenir compte de l'avis de l'opposition. « Le gouvernement continue de chercher des amendements constitutionnels qui exacerbent les tensions avec l'opposition », relève-t-il. Ce processus « requiert un environnement politique et sécuritaire qui permette la confiance de tous les acteurs politiques », insiste Antonio Guterres.
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