Le mardi 6 février, la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) a fini par mettre à exécution ses menaces de sanctions contre le régime bissau-guinéen pour le non-respect du processus de sortie de crise appelé l' « accord de Conakry ».
En effet, parvenue au constat que le président de la Guinée-Bissau, José Mario Vaz, est passé outre la procédure consensuelle de désignation d'un Premier ministre comme l'exigeait ledit accord, l'institution ouest-africaine a décidé de sévir. Interdiction de voyager dans l'espace régional et gel des comptes bancaires pour 14 députés ainsi que 5 proches du président dont son fils, Emerson Vaz.
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