Birahima ne porte plus sa kalachnikov en bandoulière et ne vit plus « dans un camp limité par des crânes humains hissés sur des pieux et gardé par des enfants soldats ».
Sans doute, fait-il partie de ceux qui ont démocratiquement porté au pouvoir le président Georges Opong Weah, jouant la partition du citoyen-électeur dans un pays en plein renouveau, ce que les hommes lui avaient refusé au cours des vingt dernières années, avec deux guerres civiles à la clé, 9 accords de paix et 13 cessez-le-feu, une force d'interposition de la Cedeao (Ecomog), une Mission spécifique des nations-unies, de nombreux massacres et atrocités, dont l'absurdité a été dénoncée par feu Ahmadou Kourouma en 2000 dans « Allah n'est pas obligé ».
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