Dans une école primaire d'Ezzahra, dans la banlieue sud de Tunis, un enfant de huit ans aurait été violé, la semaine dernière, dans les toilettes de l'établissement par un de ses camarades plus âgés. Pour Moez Cherif, président de l'Association tunisienne de défense des droits des enfants, le viol des enfants n'est en rien un phénomène nouveau :
"Les tabous commencent à se lever autour de la question du viol des enfants en Tunisie, il n'est pas question, ici, d'une augmentation des fréquences mais d'une importante médiatisation". Si le recensement des viols semble augmenter, cela montre surtout que la parole de l'enfant et de la famille se libère.
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