En prêtant serment devant le Parlement sud-africain, jeudi 15 février, Cyril Ramaphosa a pu éprouver plusieurs gammes de sensations, parmi lesquelles le plaisir discret d'une franche et nette revanche.
Il y a dix-huit ans, c'était un autre, Thabo Mbeki, qui prêtait serment et s'installait à la présidence de la République, avec Jacob Zuma comme vice-président. A sa place, estimait alors le désormais tout nouveau chef de l'Etat.
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