Au Gabon, les évènements se sont accéléré ce 19 février pour matérialiser la séparation avec le groupe français Veolia et l'Etat gabonais. Après la rupture soudaine du contrat de distribution de l'eau et l'électricité dans le pays par le groupe français, une passation de pouvoir a eu lieu alors que le personnel inquiet a multiplié les initiatives.
La journée a été riche en événements ce 19 février, trois jours après la saisie de la filiale de Veolia à Libreville. Le matin, tout le personnel gabonais de la Société d'énergie et d'eau du Gabon (SEEG) s'est retrouvé pour une assemblée générale. « Il y a beaucoup d'inquiétude et d'interrogations sur l'avenir exact de la SEEG », explique René Mbélé, un des responsables syndicaux.
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