L'agression sexuelle d'une fillette de 15 ans, les « actes de déstabilisation de l'Etat » et la tenue prochaine du procès du putsch manqué. Ce sont là, les problématiques sur lesquelles s'est prononcé le Collectif des femmes actives du Burkina (CFA), lors d'une conférence de presse, le 19 février 2018 à Ouagadougou.
Après la sortie du Mouvement Brassard noir la semaine dernière pour dénoncer des actes de « manipulation » quant à la tenue du procès du putsch manqué le 27 février prochain, c'est au tour du Collectif des femmes actives (CFA) de sortir pour donner de la voix sur la même question.
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