Il se trouve que beaucoup d'entre eux se retrouvent dans ce métier sans pour autant connaître les bases et les préalables de ce dernier. Cette intégration presque par infraction ne permet pas à ces coiffeurs d'acquérir les bases même de l'art de la coiffure ou mieux la connaissance du cheveu.
C'est donc après avoir fait un tel constat que Mekoezer Dooh un jeune camerounais de la diaspora allemande promoteur du concept "kitoko house" a décidé de former des coiffeurs camerounais afin de professionnaliser ces derniers derniers en leur donnant les véritables bases de ce métier.
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