Au Nigeria, les familles sont toujours sans nouvelles des 110 jeunes filles portées disparues, après l'attaque de l'établissement scolaire de Dapchi, une localité du nord-est du pays. Une semaine après, leur rapt n'a toujours pas été revendiqué, mais les soupçons se portent sur les islamistes de Boko Haram.
L'incident, qui rappelle celui des 276 lycéennes de Chibock enlevées en avril 2014, soulève de nombreuses interrogations quant à la capacité de l'armée à sécuriser le nord-est du Nigeria, et ce malgré les déclarations répétées du gouvernement se vantant d'avoir mis fin à l'insurrection.
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