Venons-en à ce langage des chiffres qui hante les esprits et qui doit servir d'épée de Damoclès pour exciter la conscience avant que la facture ne soit salée pour un secteur menacé par la crainte imminente de s'enliser davantage et faire par voie de conséquence sa métastase sur une économie agonisante .
Avec une courbe de production en dents de scie depuis l'après-14 janvier 2011, dansant au rythme d'une violente vague de revendications sociales, le coup de frein subi par les différents sites d'exploitation en arrêt depuis 43 jours entraîne une perte journalière de 15.000 tonnes traduites par un manque à gagner estimé à 1 million de dinars, et ce n'est nullement l'unique perte.
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