Forgeron, cordonnier, mécanicien de bicyclette, tailleur de «ros kari» ou encore horloger... Des métiers très populaires dans les années 60-70 mais que pratiquement plus aucun jeune ne veut faire. Les quelques personnes qui les pratiquent ont plus de 50 ans et elles ont surtout pris la relève de leurs parents, avec amour et passion. Mais ces professions sont condamnées à disparaître...
Ces travailleurs d'un autre temps ont presque tous des enfants, mais aucun d'eux ne veut emboîter le pas à leurs parents. Ce n'est pas une question d'argent, mais ils ne veulent pas se salir les mains ou, encore, auraient une certaine honte de pratiquer de tels métiers. Et pourtant, ils sont très bien payés de nos jours, car ils sont en grande demande.
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