Les écoles privées du primaire et du secondaire sont les victimes collatérales des mouvements de grève dans le public. Certes, le personnel enseignant n'a pas cessé le travail, mais ces établissements sont régulièrement envahis par de jeunes élèves oisifs venus perturber les cours, souvent à l'incitation de leurs enseignants.
Du coup, plusieurs écoles à Lomé et en province ont décidé de fermer boutique à chaque appel à la grève lancé par les syndicats du secteur public afin d'éviter d'éventuels troubles.
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