L'affaire madame Lhynda Katina décédée le 7 mars 2018, soit un jour avant la spéciale journée dédiée à la femme, le 8 mars, suite à "des coups lui infligés par son mari", apprend-on des sources entrecoupées, ne serait qu'une goûte d'eau de trop qui est venue déborder le vase, déjà plein.
"Trop, c'est trop", disent les femmes de la République Démocratique du Congo, plus singulièrement, un Regroupement de fait, "Stop Violences Faites aux Femmes", SVF en sigle, qui a saisi de cette malheureuse opportunité, pour réclamer justice sur toute violence et injustice dont les femmes sont souvent victimes de la part de certains hommes dans la société. Composé des femmes des médias et autres, SVF sollicite, dans un mémorandum ci-dessous repris, que des hommes coupables de violences soient civilement et pénalement responsables et incarcérés pour une peine de 5 ans de prison, au minimum.
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