Au Burkina Faso, à quelques heures de la reprise du procès du coup d'Etat manqué de septembre 2015, les avocats des accusés ne sont pas contents du traitement judiciaire de l'affaire.
Après avoir récusé la légalité du décret portant sur la nomination du président l'instance devant laquelle doivent comparaitre les généraux Gilbert Dienderé et Djbrill Bassolé ainsi que 82 autres accusés, les avocats dénoncent certaines anomalies n'ont pas été corrigées avant l'audience de mardi 21 mars. Des anomalies qui font planer le doute sur la reprise effective du procès qui avait été suspendue le 27 février dernier.
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